Pour le début de l’aventure, c’est Arnaud qui vient récupérer Manu en premier…

…car il est le plus proche géographiquement.

La planche a été entièrement refaite sur tablette. J’en profite également pour affiner le scénario, les postures et les décors (en plus de corriger la date).
Je laisse la planche initiale dans le post pour comparaison entre les deux versions.

Départ pour l’aventure, étape 1

L’ancienne version (feutre sur Canson, scan, nettoyage et couleurs numériques) :

Fin d’une nuit d’été en Poitou-Charentes

La date n’est pas la bonne, puisqu’on est rentré à la mi-août. On a donc dû partir le 24 ou le 25 juillet.
On remarquera, en comparant avec les dernières planches, l’évolution du style en général comme des détails : en effet, il m’a fallu quelques mois pour  reprendre mon style initial.

Officiellement, oui, c’est fini…

… Bien que cette page de fin puisse encore être modifiée.

Fin (temporaire ?) de la BD des Pyrénées.

Officieusement, non : comme annoncé en préambule et sur le post précédent, il me reste à faire :
– la refonte des 20 premières planches (dont 18 réalisées à la main et scannées, d’où un format différent…)
– la correction d’une bonne vingtaine de page, notamment pour les fonds montagneux, l’ajout de détails et d’ombres, la rectification de certaines perspectives…

Donc, la fin réelle de ce projet est pour dans quelques mois 🙂

Evidemment, le moteur n’a pas trop aimé…

… la course-poursuite de la page précédente. Mais nous avons quand même pu revenir à la maison sans trop de problèmes.

Dernière étape du retour.

Je ne me rappelle plus si on avait pris des pizzas ou des burgers pour ce dernier repas, mais bon… Le McDo de Beaulieu existait déjà, de même que la Boîte à pizza du Faubourg du Pont-Neuf. Donc, dans le doute, j’ai opté pour le plus proche des deux.
Rendez-vous lundi prochain pour la dernière planche… mais pas la fin du projet : comme je l’avais expliqué au début, il me reste à refaire complètement les 20 premières planches + corriger certains détails. Bref, encore quelques mois avant la version définitive. Il y aura cependant pas mal de nouveautés, puisque je retravaille le cadrage, le découpage, les positions, etc…

Après tous ces imprévus…

… il est temps d’essayer de rattraper notre retard si nous voulons arriver à Poitiers dans la soirée.

Course-poursuite sur l’autoroute

Tout est véridique, sauf les voyants de la dernière case. Mais oui, une R14 pouvait bien monter à 180 km/h… et survivre. L’histoire ne dit pas combien de temps la voiture a survécu après notre retour…

Contraints de faire une pause pour déjeûner…

… nous mastiquons nos sandwiches à la gare en attendant de pouvoir repartir !

Pause de midi et sandwiches avant de reprendre la route.

La pause de midi à la gare est inspirée d’un vieux souvenir personnel : dans les années 1970 (je devais peut-être avoir 5-6 ans), en route pour fêter Noël dans le sud de la France, la 404 familiale a été victime d’une petite avarie mécanique. Et, en attendant que le garagiste ait fini, nous sommes allés nous acheter des mini-bûches de Noël que nous avons mangé en regardant les trains (ma grande passion du moment)… sous la pluie.
Le reste de la planche est par contre tout-à-fait réel.

La réparation ayant été mal faite par le carrossier…

… Nous nous voyons contraints de chercher un nouveau garage pour réparer la panne engendrée par l’intervention du carrossier (qui a sans doute bricolé trop vite, mais nous a tout de même permis de reprendre la route) !

Réparation faite à la va-vite, recherche d’un nouveau garage.

Problème : on est arrivés à 11h59… Une minute après, les employés prenaient leur pause de midi, jusqu’à 14 heures ! C’est réellement arrivé, on a dû patienter tout ce temps. Qu’avons-nous fait ? Vous le saurez dans la planche 69 lundi prochain 🙂

Nous avons finalement trouvé le garage…

… et il est même ouvert ! Et il a même accepté de faire la réparation.
Mais (car il y a toujours un “mais”)…

Nous avons fini par trouver le garage, qui accepte de réparer la voiture.

A noter que tout ceci est réellement arrivé et que l’explication de la dernière case sera dans la prochaine planche 🙂
Vous avez cependant le droit de faire des propositions quant au “nouveau” problème qui nous arrive !

Un jeune homme serviable nous a pris en stop.

Par contre, il s’arrête 5 km plus loin en nous signalant qu’il y a un carrossier encore 5 km plus loin, mais qu’il n’est pas sûr qu’il soit ouvert.
Bien qu’on soit un samedi… C’est le 15 août !

Un jeune homme nous prend en stop et nous suggère un garage un peu plus loin.

A part la dernière case, le reste est rigoureusement authentique. Restent pas mal d’inconnues : le garage sera-t-il ouvert ? Aura-t-il un câble d’accélération pour notre pauvre R14 ? Acceptera-t-il de nous dépanner ?…

Arnaud a fini par trouver l’origine de la panne…

…le câble d’accélérateur a cassé. Problème : nous sommes au milieu des Causses et il n’y a rien alentours. Mais rien, hein !

Origine de la panne. On fait du stop au milieu de nulle part.

Cette anecdote est véridique (et pas encore finie), une fois encore. Petit clin d’oeil au passage à ma regrettée Super 5 de l’époque (je ne me rappelle plus, 25 ans après, quelle était la voiture qui nous avait pris en stop).

Evidemment, le retour débute par un premier problème…

… qu’il va falloir identifier !

Jour du départ, première avarie.

Les symptômes : plus d’accélération et le moteur tourne en surrégime. Si des mécanos veulent donner leur avis en attendant la solution la semaine prochaine, ils sont les bienvenus.