On entame la progression vers le refuge de Goriz…
… toujours sous la pluie qui ne cesse de tomber.
Ce qui rend d’ailleurs les choses plus risquées : nos sacs-à-dos sont désormais gonflés de flotte et nous alourdissent encore.
Et on doit parfois escalader des rochers presque à la verticale…
Heureusement, aucune chute n’a eu de conséquences graves (quelques contusions tout au plus) et sur le coup, on marchait à l’adrénaline.
Ce n’est que plus tard qu’on a réalisé que la situation était vraiment risquée et qu’on aurait pu y laisser notre peau.
La planche originale est ci-dessous pour référence.
—————-
Cette planche a été scindée en deux, c’est donc la première moitié qui a été refaite. Je voulais donner plus d’espace aux différentes cases, d’où le décalage.