Category: Divers (page 1 of 2)

Tout ce qui ne rentre pas dans les autres catégories.

Inktober 2018 – Jour 7 : Exhausted

Inktober 2018 – Jour 6 : Drooling

Inktober 2018 – Jour 5 : Chicken

Hé oui, du poulet entier, mais désossé… en boîte.  Ca existe vraiment, je n’ai jamais goûté, et j’espère ne jamais y goûter…

Inktober 2018 – Jour 4 : Spell

Inktober 2018: Roasted

J’ai eu envie d’éviter les clichés liés à la bouffe/cuisine…

inktober 2018- - Jour 3 - roasted

Inktober2018 – Jour 2 : Tranquil

Second jour, pour illustrer le côté “tranquille”, quoi de mieux qu’une mignonne petite grenouille agrippée à une plante ?

Inktober2018 - Tranquil

#Inktober2018 – Day 1: poisonous

Pour cette édition 2018 d’Inktober, j’ai ajouté mon propre challenge à la liste officielle : dessiner un animal en rapport avec le mot du jour.
Sur le thème Poisonous, c’est donc la pieuvre à anneaux bleus qui s’y colle, un des animaux marins les plus venimeux !

inktober2018 - poisonous

J’aurais aimé être un poulpe…

Surtout avoir les tentacules du poulpe, finalement !

En fait, pas vraiment, mais comme le forum L’Encre Seiche, pour fêter ses 100 membres, à proposé à chacun d’entre eux de représenter son avatar avec un poulpe, de quelque manière que ce soit, je me suis dit que j’aimerais bien pouvoir pratiquer toutes mes passions (boulot, dessin, musique… et j’ai zappé la cuisine) en même temps.
Et pour ça, quoi de mieux que 8 tentacules ?

D’où le dessin suivant :

OctopusJ’aurais sans doute pu troquer la contrebasse (dont je joue très peu) pour une basse (que je pratique depuis bientôt 30 ans), mais le côté imposant de l’instrument convenait mieux au concept.
Sinon, on retrouve l’indispensable ordinateur pour mon job de webdesigner/chef de projet Web et la Cintiq pour les illustrations.

Et puis, bon, à titre personnel, j’aime beaucoup ces bestioles, autant les voir évoluer dans leur milieu naturel que dans mon assiette !

Et en bonus, le making of en vidéo :

Vieux projet de t-shirts (1997)

En 1997, avec 2 amis, on avait mis sur les rails un projet de t-shirts avec une première série basée sur divers personnages.
L’idée de base était de pouvoir par la suite créer des sujets personnalisés pour d’éventuels clients puis éventuellement vendre en ligne.
Hélas, faute de temps et de moyens, ce projet a été mis au rencard, mais j’ai toujours les originaux (encre de Chine sur Canson).

Personnage aux toilettes Rat bestiole Frankenstein creature Fabrice le Morpion Eddie DJ Dan Killer Tronçonneuse

Youtube/Seconde vidéo : mise en couleurs

Pour cette nouvelle vidéo, on va parler des couleurs.

Elle est plus longue que la précédente, puisque cette étape est plus longue, bien que le numérique autorise certaines astuces.

Quelques précisions sur ma méthode de travail.

  1. J’utilise un nuancier créé de toutes pièces pour conserver une continuité dans les couleurs récurrentes : celles des personnages, de la voiture, du ciel…
  2. Je pose toutes les couleurs d’un personnage ou objet donné en même temps.
    Par exemple, dans la planche ci-dessus, Arnaud est présent à 3 reprises (les 3 premières cases). Je vais donc d’abord faire ses cheveux sur chaque case, puis la peau sur chaque case, etc…
  3. J’utilise beaucoup de calques temporaires, d’une part pour minimiser les risques d’erreur (exemple : dépasser sur telle ou telle partie), mais aussi parce que, dans certains cas, ça me permet de ne pas avoir forcément à respecter les contours. Pour Manu, en première case, comme il est derrière tout le monde, les contours du t-shirt sont approximatifs.
    Une fois que j’ai fini l’élément concerné, je fusionne tous les calques temporaires en un seul calque final.
  4. Et c’est là l’autre point : quand une surface à colorer est étendue, j’en trace les contours, je sélectionne l’intérieur, j’élargis la sélection de 3 pixels (pour éviter une séparation blanche entre le contour et le remplissage) et je remplis en 1 clic au pot de peinture.
  5. Je commence d’ailleurs souvent par les éléments au premier plan, même pour les décors. De cette façon, je peux colorer les rochers d’abord, puis l’herbe ensuite sans avoir à contourner chaque rocher (je place un calque “grass” sous le calque “rocks” et le tour est joué).
  6. J’utilise, comme d’autres BDistes, un fond contrasté (en général un bleu foncé) pour mieux distinguer les couleurs claires que sur fond blanc.
  7. Je place aussi tous les éléments dans 4 dossiers : persos, objets, backgrounds et ciels.
    J’y ajoute parfois des claques spécifiques (nuit, lumières) qui seront au-dessus pour pouvoir se superposer aux couleurs.
  8. Une fois les couleurs posées, je pose des ombres sur un calque noir en mode Produit à 15% d’opacité. Ces ombres n’ont pas vocation à être exactes, leur rôle est surtout de donner un peu plus de volume et de profondeur au dessin final. C’est pour ça que les décors de fond en bénéficient très rarement.

Est-ce que ce type de vidéos est réellement intéressant ? Faites-moi part de votre avis en commentaire ou sur ma page Facebook 🙂

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