… sous la grêle, qui vient de remplacer la pluie. Du coup, on monte rapidement la tente igloo pour se mettre à l’abri, ayant constaté que le refuge affiche complet !
Le refuge ressemble à ça par beau temps :
Et ci-dessous, la version précédente, comme d’habitude.
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…de plus en plus difficilement, d’autant plus que le refuge n’est toujours pas en vue.
La pluie redouble d’intensité, dissimulant les sentiers sous des torrents glacés, et la fatigue commence à se faire sérieusement sentir !
Avec cette planche, le décalage atteint désormais 3 planches (la BD en comptera donc 75 au final).
C’est la seconde partie de la version initiale (ci-dessous)
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… toujours sous la pluie qui ne cesse de tomber.
Ce qui rend d’ailleurs les choses plus risquées : nos sacs-à-dos sont désormais gonflés de flotte et nous alourdissent encore.
Et on doit parfois escalader des rochers presque à la verticale…
Heureusement, aucune chute n’a eu de conséquences graves (quelques contusions tout au plus) et sur le coup, on marchait à l’adrénaline.
Ce n’est que plus tard qu’on a réalisé que la situation était vraiment risquée et qu’on aurait pu y laisser notre peau.
La planche originale est ci-dessous pour référence.
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Cette planche a été scindée en deux, c’est donc la première moitié qui a été refaite. Je voulais donner plus d’espace aux différentes cases, d’où le décalage.
…Renaud aperçoit des gens sur le versant d’en face et Arnaud les appelle, histoire de voir s’il y a moyen de se tirer de cette situation.
Et en effet, ils vont au même endroit que nous. Reste que le chemin sera long et plutôt périlleux, avec nos sacs-à-dos alourdis par cette pluie qui n’en finit pas et sachant qu’on devra à plusieurs reprises se livrer aux joies de l’escalade à mains nues.
La version précédente de cette planche figure ci-dessous.
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Une lueur d’espoir pour retrouver notre chemin ?
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